24 juillet 2009
Oyé ! Oyé ! Braves gens, damoiselles et damoiseaux !!
Nous allons te conter la journée du vingt-trois juillet de l’an deux mille neuf.
La journée commença par une grosse et grasse mat’. De bon aloi, nous nous levâmes pour notre vessie soulager. Et le petit déjeuner que nous avalâmes quatre à quatre Emplit nos corps de force et de vigueur pour ce jour affronter.
Norvège, contrée où la température n’eut cœur que de diminuer, Tu n’eus point raison de nos vaillantes âmes, que nenni ! Dans tes eaux gelées, nous trempâmes nos fesses bien nées. Malgré le vent, malgré le froid, malgré la pluie.
L’heure du repas arriva à point nommé et sans trahir, Le chili con carne, nous dévorâmes sans faillir. Le rabe ne se fit pas attendre plus longuement, Et pris fin sous les assauts répétés des valeureuses dents.
Qu’il fût bon de sentir nos estomacs pleins et tendus, Pour qu’enfin reposent les corps réchauffés et fourbus. Les douches qui suivirent effacèrent les traces acerbes D’une pluie battante qui gorgea d’eau tentes et herbes.
Au sec ! que diable, il sonna l’heure de la veillée, Enigmes et jeux d’esprits eurent joie de nous divertir. Tandis que la dernière et légère collation fut préparée. Ailes de poulardes et denrée des champs eurent le soin de nous emplir.
Qu’importent ces jours sans fin et qu’importe la clarté blafarde Nous eûmes à loisir le temps de nous étendre et apaiser Nos pauvres corps meurtris et délicieusement fatigués Par une saine journée de norvégien que d’autres disent gaillarde.
Ouvre bien grand tes mirettes, ça se passe juste ici !!
La journée commença par une grosse et grasse mat’. De bon aloi, nous nous levâmes pour notre vessie soulager. Et le petit déjeuner que nous avalâmes quatre à quatre Emplit nos corps de force et de vigueur pour ce jour affronter.
Norvège, contrée où la température n’eut cœur que de diminuer, Tu n’eus point raison de nos vaillantes âmes, que nenni ! Dans tes eaux gelées, nous trempâmes nos fesses bien nées. Malgré le vent, malgré le froid, malgré la pluie.
L’heure du repas arriva à point nommé et sans trahir, Le chili con carne, nous dévorâmes sans faillir. Le rabe ne se fit pas attendre plus longuement, Et pris fin sous les assauts répétés des valeureuses dents.
Qu’il fût bon de sentir nos estomacs pleins et tendus, Pour qu’enfin reposent les corps réchauffés et fourbus. Les douches qui suivirent effacèrent les traces acerbes D’une pluie battante qui gorgea d’eau tentes et herbes.
Au sec ! que diable, il sonna l’heure de la veillée, Enigmes et jeux d’esprits eurent joie de nous divertir. Tandis que la dernière et légère collation fut préparée. Ailes de poulardes et denrée des champs eurent le soin de nous emplir.
Qu’importent ces jours sans fin et qu’importe la clarté blafarde Nous eûmes à loisir le temps de nous étendre et apaiser Nos pauvres corps meurtris et délicieusement fatigués Par une saine journée de norvégien que d’autres disent gaillarde.
Ouvre bien grand tes mirettes, ça se passe juste ici !!
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